C’est une petite révolution silencieuse qui s’est opérée dans les manuels de diagnostic ces dernières années. Avec le DSM-5, le BDSM (Bondage, Discipline, Sadomasochisme) a quitté le rayon des maladies mentales pour rejoindre celui des “intérêts sexuels atypiques” – tant qu’il est pratiqué entre adultes consentants. Mais peut-on aller plus loin ? Au-delà d’être simplement …